AGSILA AFROMYTIK

 

  

Salam aleikum, Salutations !

Souhait de paix, sans distinctions :
Salaam, jàmm, paix, peace... pour tous !
Je suis Sénégalaise avec une culture plurielle.
Je m'incline en toute humilité devant mes amis, ma famille, et mes origines multiples.

Je vous aime et vous remercie pour votre soutien. 

 

 

 

TEGTAL est le 3eme album de Agsila :

 

CD "TEGTAL" 14 titres : 10 000, 00 FCFA (15 euro)

+ frais d'envois postal 

Vous pouvez commander et payer par téléphone au:  00221 77 786 51 40

Western Union / Wave / Orange Money

 

L' album TEGTAL est en téléchargement sur toutes les plateformes :

 

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ŃAAN extrait de l album TEGTAL :

 

 

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Extrait du blog de Agsila : 

 

 

 

Carnet d'enfance.

 

 

La petite maison était calme.  

Elle était à la lisiére d'une fôrêt de filao pas loin de l'océan. Un bac à sable fin!

Je sortis du salon sur la pointe des pieds.

Je me dirigeais vers le bureau de mon père, mais je vis ses chaussures à l'entrée, sur le petit tapis.

Il était là.

Pour ne pas le déranger, je décidais alors d'aller patienter sous le cerisier du Cayor. Son ombre imposante gagnait déja du terrain.

Je m'adossais contre son tronc humide en attendant.

J'aimais cet arbre, j'étendais mes jambes frêles de fillette à même le sable.

Dans quelques jours ce sera mon anniversaire; six ans!

J'aimais m'isoler, cela me faisait du bien, rêvasser était mon besoin quotidien.

J'attendais le moment  pour gagner ma cachette, qui n'était plus une surprise !

C'était l'heure de la sieste, la maison dormait. Maman pouvait souffler, elle avait un sursis.

Le père, lui aussi, aimait ce moment où il pouvait gribouiller des lignes interminables.

Mais ce jour, il s'était assoupi là, à même le sol, dans ce bureau encombré d'odeurs de papiers.

Il y avait des livres de toutes sortes dans sa bibliothèque.

Beaucoup ne trouvaient pas leurs places dans les rayons, et il les empilait par terre, sur ce sol à petits carreaux blancs.

La grande table m'attendait au milieu de la pièce  ; son bois rouge luisant me plaisait.

Une lampe métallique à long cou était posée dessus. Cette lampe restait la seule source de lumière dans ce lieu.

Sa lueur chaude romantique soulignait le caractère ancien des murs. Mais je ne l'aimais pas elle me faisait peur. On aurait dit un squelette.

Je me glissa sous la table, et j'observais.

La porte en bois restait entrouverte. Un rayon de lumière pénétrait.

La fenêtre laissaient échapper, à travers ses persiennes, une fine buée de poussières en suspension.

La lumière semblait grossir chaque bulles, qui valsaient au rythme de la musique provenant du tourne-disque.

Papa le faisait tourner lors de ses grandes fatigues.

Encore cette voix aiguë !

Celle-là, elle était capable de percer même le ciel, avec ces mêmes mots que je connaissais maintenant par cœur : "Rejoice, rejoice... peace".

Je ne savais pas ce que cela voulait dire, mais je me sentais apaisée.

Comme il dormait, il ne m'entendait pas entrer. Mais c'était toujours étrange de le voir dormir, ses grands yeux à moitié ouverts.

J'hésitais, mais je ne pouvais résister à l'appel de mon livre préféré. Je le voyais là, sur l'une des piles sous la table du bureau. Il m'attendait.

D'habitude, je rentrais dans la pièce quand "il" n'y était pas... mais s'il dort, c'est qu'il n'y est pas ! disait l'enfant en moi.

Je remarquais que le grand livre à couverture tissée n'avait pas bougé depuis la dernière fois. Alors, je continuais à regarder les images.

J'étais fascinée par ces vieilles villes, ces personnes d'antan.

Je ne savais pas encore lire, mais je tournais les pages, plongée dans les images qui m'emportaient dans ces mondes mythiques.

J'entendais maintenant les sabots des chevaux sur les pavés, le froufrou des tissus des dames dans les marchés. Cet enfant qui court sous la pluie glacée...

Je tournais de plus en plus les pages, de manière bruyante.

Le bruissement du papier le réveilla, et il sortit sans que je m'en rende compte. Moi qui croyais qu'il ne m'avait pas vu !

 

Des années plus tard, il me raconta qu'il n'avait jamais voulu ranger ces piles de livres pour que je puisse retrouver mes épisodes cachés sous cette table !

Dans la pénombre de ce bureau, j'ai visité tant de mondes merveilleux...

 

Hommage à ce père qui nous a transmis la soif de la sage connaissance. 

Mais surtout, merci de nous avoir fait comprendre que, malgré tout, il n'y a que l'amour qui reste, avec un grand A. Celui de l'Alpha et de l’oméga. 

 

Carnet d'enfance.

Agsila, Septembre 2024.

 

 

Lu dul Yàlla neen la

Composition et chant Agsila, piano David Ndecky

Extrait du prochain album BËT SET NA : LE JOUR SE LE!VE

 

 

 

 

 

 

Sortie du titre "Wàllu Jigéen" d'Agsila Afromytik le 8 Mars 2024 en hommage à la Journée Internationale des Femmes !

 

Agsila Afromytik, une icône de la scène musicale sénégalaise, est fière d'annoncer la sortie de son dernier titre "Wàllu Jigéen" (La part des femmes) le 8 mars 2024 à Dakar, à l'occasion de la Journée Internationale des Femmes. Cette chanson, empreinte d'engagement, célèbre la force, la dignité et la contribution inestimable des femmes à la société africaine et au-delà.

Agsila incarne un féminisme africain et une identité sénégalaise assumée à travers ses engagements et sa diversité panafricaine. "Wàllu Jigéen" est une ballade en wolof qui transcende les frontières musicales en mêlant subtilement les sonorités orientales à des rythmes authentiquement africains. Avec des paroles poignantes et un refrain facile à reprendre en chœur, cette chanson est un véritable hymne à la féminité et à la puissance des femmes.

Les paroles de "Wàllu Jigéen" capturent l'essence même de la femme africaine dans toute sa diversité : enseignante, entrepreneure, femme vertueuse et créatrice. Elles soulignent le rôle central des femmes dans la construction d'un monde meilleur et leur capacité à inspirer le changement et la transformation sociale.

À travers cette chanson, Agsila Afromytik et son groupe AFROMYTIK célèbrent la mère et toutes les femmes, rendant hommage à leur courage, leur résilience et leur détermination à défendre leurs valeurs et leurs convictions. "Wàllu Jigéen" est bien plus qu'une simple chanson ; c'est un appel à l'unité, à la solidarité et à la reconnaissance du rôle essentiel des femmes dans la société.

Ne manquez pas la sortie de "Wàllu Jigéen" le 8 mars 2024 à la Délégation Wallonie-Bruxelles de Dakar, et rejoignez Agsila Afromytik dans cette célébration de la féminité et de la force des femmes africaines. Cette chanson est un hommage vibrant à toutes les mères, à toutes les femmes, qui façonnent le monde de demain avec courage et détermination.

 

 

 

Nouveau titre : Wàllu jigéen (La part des femmes ) 

 

 Wàlle nguur, le pouvoir détruit le monde...

 

 

 

 

Heureuse année 2024 !

 

Le Sénégal est un long fleuve paisible où se manifeste l’inattendue ;

Ces rivages verts portent des rêves de vie, de cris et de joies et les illusions meurtrières des esprits chagrins sombrent dans ses sables mouvants.

Les murmures des feuilles chantent une mélodie apaisante tels les cours d'eau intemporels de la tradition.

Un souffle divin parcourt ce couloir tout au long des régions et comme une main ruisselante d'eau bénite, l'avenir porte les espoirs du pays.

Les souffrances du passé sont le limon de notre avenir, transformant l'eau poussiéreuse en destin radieux.

Chaque coucher de soleil est une célébration et chaque année s'ouvre comme une offrande à la vie.

La nouvelle année suivra son cours avec ses promesses de beauté et ses miracles d’amour que aucun ne sera briser.

Agsila. 

 

 

AGSILA clôture le séminaire AFRODAD à l'Hotel Blue Radisson de Dakar avec son groupe AFROMYTIK

 

 

 

Walangaan : un duo musical pour enfants

Agsila sera en tournée à Paris en Avril 2024

 

 

 

Cloture du séminaire AFRODAD à Radisson Blue Dakar

 

 

  

Bonjour les amis,

Je vous souhaite  beaucoup de clémence pour l'année à venir, et mes voeux les plus chers vont vers les cœurs. Que la paix règne dans tous les cœurs fragiles, sans distinction.

Cette année a été une confirmation pour notre soutien aux femmes et aux mineurs incarcérés. Nous leurs  souhaitons beaucoup d’amour et de compassions.

Il y a des coupables, mais nous pensons que la compassion n’exclut pas la justice, cependant elle offre la possibilité d’aller vers son chemin de vie. Nous avons terminé notre tournée dans les maisons d’arrêts mais nous restons au plus près de ces femmes et de ces enfants privés de liberté. Le Sénégal est un pays de liberté et de paix, alors nous prions pour la paix sur la terre car nous avons cette force et cette conviction. 

Nous sortirons ensemble cette année un nouvel album, "Bët set na" (Le jour se lève) et nous suivrons la course du soleil car en Afrique, il se couche à Dakar, à la pointe du continent, avec tous nos espoirs pour des jours meilleurs. Dakar porte tous les espoirs des peuples et se retourne sans cesse vers un avenir aux grands horizons. Nous  continuerons ainsi à toujours célébrer le divin jusqu'au lendemain.

J'ai hâte de vous retrouver sur scène pour une nouvelle célébration.

Belle et heureuse année.

 

Agsila.

 

 

Levez la penitence !

 

 

 

Bonjour les amis,

 

Tous les ans, je participe à la tournée des établissements pénitentiaires au Sénégal.

L'administration nous ouvre ses portes à l'approche des fêtes et nous pouvons rencontrer les détenus le temp d'un concert dans la cour.

Ce sont des moments intenses en émotions où l'on voit se fissurer les carapaces forgées par la souffrance et la culpabilité. La musique est un déclencheur incomparable pour retrouver les humanités. Rapidement les corps s'éveillent aux rythmes, les esprits dansent avec les harmonies, et les visages s'émerveillent à la vie.

Nous aimerions vous convier à ces métamorphoses improbables, à ces cristallisations des sentiments, au réveil des coeurs par nos témoignages, et il est certain que ma musique ainsi que celle du chanteur Anto et de son groupe, que la peinture de Anouchka se nourriront de ces expériences rares.

Un concert public de retour est prévu dans le Dialaw, alors rejoignez nous dans ce ballet des coeurs et partageons.

Merci à tous.

 

Retrouvez Agsila à Paris et participez à la tournée.

 

 

 

 

Bonjour les amis,

 

Je finalise actuellement mon troisième album intitulé "Bët set na" (Le jour se lève).

A l'occasion du mariage de Rose et Michel à Dakar, j'ai eu l'occasion de chanter un de mes nouveaux titre, 

voici un extrait : 

 

 Enfants de lumière (Doomi leer)

Composition et chant Agsila

Le mariage de Rose et Michel à Dakar

 

Bonjour les amis,

La rentrée scolaire est un moment important au village de Yene Kao, un moment de fraternité et de solidarité, et je participe avec les associations de mon mieux pour parrainer les enfants.

Cela évite la déscolarisation des enfants méritants, et leur permet de s'équiper avec un nouveau cartable, des livres des cahiers, des stylos.

Nous donnons 20 000Fcfa par enfant pour l'inscrire et une cérémonie de remise des fournitures à lieu dans la cour de l'école primaire de Yene Kao.

Merci pour votre soutien !

 

Remise des fournitures aux élèves de l'école primaire de Yene Kao par Agsila à 30 enfants lauréats.

 

 

 

Bonjour les amis,

Je suis très heureuse de voir passer mon nouveau clip sur les télévisions Sénégalaises ! 

 

 

  L'UNITE AFRICAINE !

 

 

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